Les nouveaux intellectuels se balancent sur les scènes des stades forains.
Les chanteurs, véritables coqueluches de supercherie, incapables d'allonger deux mots, sont capables d'allonger deux morts, d'allonger deux mottes. Sans culpabilité, sans morale, sans hésitation. La peur est sur la ville et l'avili est avalé.
Epoque fertile en suaves sentiments, confidentiels, consensuels, cons et tutti quanti, le carnaval est pavé de bons sentiments.
Aujourd'hui, on fabrique en quelques semaines les élites et les élites raillaient. To day or not to day là est la question.
L'époque est épique et sans coeur.
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